2024
Septembre 2024, Prague, Desperate House plants
Desperate house plants, Skautsky Institute Prague,
dans le cadre du Tantehorse festival 8/09/2024
©photos Romana Kovacs
Avril au jardin de l’Arsenal
Au Jardin Fleuri, Atelier-Galerie, 58 140, Lormes
Dans le cadre de l’Exposition Florilège #2, Autoportraits aux fleurs, commissaires Stellagoldschmit
Desperate house plants
Hantu Performance, Athens, May 15 2024, National Polytechnic University of Athens.
photo ©Despina Zacharopoulou.
Desperate Houseplants, performance, Galerie Journiac
7 mars 2024, dans le cadre des journées Journiac à l’Ecole des Arts de la Sorbonne
commissaires Véronique Verstraete et Laurine Wagner
©Armando Zacarias
Diorama (#3) 27 janvier, Sorbone art Gallery
2023
Biennale d’Istambul
Commissaire : Valentina, Gioia-Levy
Visionnage de chacun des trois films grâce aux QRcodes aposés sur les posters.
Global Sacrifice (Kefalonia), Os Deuses Vegetais, (Rio de Janeiro), Corpos ibridos (Miguel Pereira)
Vous voici en curieuse compagnie
performance le 21 septembre à l’Espace Icare,
dans le cadre de l’exposition : Sol,mur,temps, intrication (commissaire: Jae Kyoo CHONG)
KKKKusamaki, espace Icare, Issy-les-Moulinaux du 5 au 22 septembre 2023
dans le cadre de Sol-Mur-Temps, Intrication, commissaire : Jae-Kyoo CHONG
Corpos Hibridos, Miguel Pereira, août 2023
Lien vers la vidéo
Os deuses vegetais, Rio de Janeiro, Juillet 2023
Lien vers la vidéo
Global Sacrifice, Kefalonia, Grèce, juin 2023
Lien vers la vidéo
Tisser, Métisser (en forêt) Performance Participative
Performancce relationnelle P. Weber/T. Alice
Paris Le 9/03/ Rio de Janeiro, le 22/07/2023
(Se) porter
Tamagawa University, Tokyo avril-juillet 2022 Exhibition, performances, workshops by Pascale Weber
2022 résidence à l’Université de Tamagawa de Pascale Weber
Recherche et création
Performance « Diorama : Essai de réalité diminuée »
Villa Tamaris Toulon Novembre 2021
Arboretum Jardins en mouvement
Maison de l’environnement, Montgeron, mai 2021
« Comme l’Herbe Pousse »
Une exposition de Hantu à la Galerie Rue Française (Nov 2020)
[vc_row][vc_column][vc_single_image image= »1965″ img_size= »full »][vc_column_text]Photo Aurélie Herbet
[/vc_column_text][vc_single_image image= »1844″ img_size= »600×400″ alignment= »right » title= »Brazilian Arboretum »][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″][vc_single_image image= »1588″ img_size= »600×400″ onclick= »link_image »][/vc_column][vc_column width= »1/2″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″ css= ».vc_custom_1555222018877{padding-top: 50px !important;} »][vc_single_image image= »1660″ img_size= »600×400″ onclick= »link_image » title= »La preuve par les crêpes »][/vc_column][vc_column width= »1/2″ css= ».vc_custom_1555222072822{padding-top: 50px !important;} »][vc_single_image image= »1662″ img_size= »600×400″ onclick= »link_image » title= »Errances »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/3″][vc_single_image image= »1196″ img_size= »318×450″][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_single_image image= »1386″ img_size= »600×400″ onclick= »link_image » title= »Cité Internationale » css= ».vc_custom_1555190887477{padding-top: 80px !important;} »][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_single_image image= »1390″ img_size= »600×400″ add_caption= »yes » onclick= »link_image » title= »Théâtre de la Resserre, Paris. » css= ».vc_custom_1555190317621{padding-top: 80px !important;} »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/3″][vc_single_image image= »1154″ img_size= »318×450″][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_single_image image= »1152″ img_size= »343×400″ onclick= »link_image » css= ».vc_custom_1555191780778{padding-top: 80px !important;} »][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_single_image image= »1153″ img_size= »400×400″ onclick= »link_image »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/3″][vc_single_image image= »1200″ img_size= »318×450″][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_single_image image= »1148″ img_size= »600×400″ onclick= »link_image » css= ».vc_custom_1555222377232{padding-top: 80px !important;} »][/vc_column][vc_column width= »1/3″][vc_single_image image= »1259″ img_size= »600×400″ onclick= »link_image » css= ».vc_custom_1555222391596{padding-top: 80px !important;} »][/vc_column][/vc_row][vc_row css= ».vc_custom_1555222244292{padding-top: 100px !important;} »][vc_column width= »1/2″][vc_single_image image= »1127″ img_size= »600×337″ add_caption= »yes » onclick= »link_image » title= »Lâcher prise »][vc_text_separator title= »Photo Jeanne Laurent » title_align= »separator_align_right »][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_single_image image= »1119″ img_size= »600×400″ onclick= »link_image »][vc_column_text]Hantu+La Crew, Journée d’étude « Lâcher prise » organisée par Jeanne Laurent et June Allen à l’Ecole des Arts, Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Avec Pascale Weber, Jean Delsaux, Bordel Pawelski et Egide DW. (Photos S. Polvani).[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css= ».vc_custom_1555222292118{padding-top: 80px !important;} »][vc_column width= »1/2″][vc_single_image image= »1105″ img_size= »292×459″ alignment= »center » onclick= »link_image »][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_single_image image= »1104″ img_size= »445×410″ alignment= »right » onclick= »link_image »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]
Faute D’Eden
Performance de Hantu(Weber+Delsaux), Sylvie Roques, Bordel Pawelski
Dans le cadre de « Le corps, encore », Manifestation organisée du 8 au 10 juin 2018 au Non-Lieu, Roubaix par Eunyoung Leepark, Pascale Weber et Olivier Muselec.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]
Retour à la mer.
Performance de Pascale Weber, Abelle Halo, Eunyoung Leepark dans l’installation de Rosy Le Bars : « Retour à la Mer ».
Roubaix, le 10 juin 2018 au « Non-Lieu », dans le cadre de « Le corps, encore ».
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css= ».vc_custom_1555223752838{padding-top: 80px !important;} »][vc_column][vc_column_text]
Hantu (Weber+Delsaux) : L’esprit de la Rivière (film)
Projection du film dans la programmation de Vidéoformes, au Non Lieu, Roubaix, les 8, 9 et 10 juin 2018
L’esprit de la rivière est une performance rituelle. Ce n’est pas le spectacle d’un rituel rejoué mais bien une cérémonie dont le rôle est de rétablir une sorte d’équilibre des forces qui opèrent dans un lieu.
Inspirée par les expériences chamaniques qui nous ont été transmises directement tant au Sapmi (Nord de la Norvège, rivière Tana) que par un couple de Chamans au sein de la jungle de Mentawai (Siberut, Indonésie) ou encore au Labrador (Innus) et dans l’arctique canadien (Inuit), « L’esprit de la rivière » n’est pas une expérience ou une fiction anthropologiques mais une performance rituelle artistique c’est-à-dire conçue (et improvisée) de toutes pièces par notre duo dans un but à la fois curatif mais aussi esthétique[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css= ».vc_custom_1555225054453{padding-top: 80px !important;} »][vc_column width= »1/2″][vc_single_image image= »841″ img_size= »600×339″ onclick= »link_image »][vc_column_text]Les mains blanches (ou performance sur le népotisme)
Hantu (Weber+Delsaux)
Galerie Pauline Perplexe, 3 juin 2018
90, avenue de la Convention – 94110 Arcueil – M° RER B Laplace
Une partition en 9 points :
1-La caméra est en place.
2-J.D et P.W. arrivent.
3- Le tournage commence. P.W. se tient immobile avec une pile de cartons. Sur l’un elle écrit le mot « Surveillance ». D’autres mots suivront, attribués à l’un.e ou l’autre spectateur.trice.
Le public, cerné d’une limite tracée par les performeurs fournira à la demande des artistes des « élus » porteurs de cartons …[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_single_image image= »922″ img_size= »600×360″ onclick= »link_image »][vc_column_text]Corps et arbres (hantu #5), 2014-2018.
Faire corps avec l’arbre, s’incorporer en lui, puiser son énergie, devenir végétale, ensevelie, fibre et sève.[/vc_column_text][vc_column_text]
Corps et arbres est une série de performances rituelles
du duo Hantu (Weber+Delsaux)
A Sulawesi, le peuple Toraja a pour coutume, lorsqu’un enfant est mort-né ou qu’il meurt avant que ne poussent ses premières dents, de creuser le tronc d’un arbre vivant et de glisser le corps de l’enfant à l’intérieur. On referme sur lui et les offrandes qui l’accompagnent une porte végétale, espèrant que l’arbre cicatrisera la blessure, de sorte que l’enfant continue de vivre à travers l’arbre. On l’ensevelit verticalement, pour que son âme s’élève jusqu’au ciel à travers l’arbre. De Brocéliande à la Sorcière de Michelet, la forêt est un lieu mythique, il rassemble les imaginaires effrayants de la vie sauvage. Mais le « Promenons-nous dans les bois » des enfants a perdu de sa splendeur depuis Tchernobyl et l’espérance d’un Eden retrouvé qui motive les politiques de sanctuarisation. Des flancs du Puy de Dôme (1) aux banians de Jakarta (3), du cerisier de Monthelon (2) aux épinettes de la basse côte nord du Saint- Laurent (4), au fil des performances s’est affirmée notre rapport au végétal, à l’arbre, en particulier à l’arbre dans la forêt.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″][vc_separator style= »shadow » border_width= »10″][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_separator style= »shadow » border_width= »10″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]
L'Esprit de la Rivière
[/vc_column_text][vc_single_image image= »944″ img_size= »600×337″ onclick= »link_image »][vc_column_text]Sélection à VIDEOFORMES 2018, Festival International d’Arts Numériques de Clermont-Ferrand :
projection du film « L’Esprit de la Rivière » dans le Cabinet de Curiosité du 14/03 au 31/03.
SALLE GILBERT-GAILLARD | 2 rue Saint-Pierre Ouverture : du mardi au samedi 10h > 18h | Le dimanche 14h > 18h
L’esprit de la rivière / Hantu (Weber+Delsaux) / France / 2016 / 17’26 :
Allongée sur un « médicament », un tapis de feutre syrien, portée par le rythme du tambour de Michael Harner ( Foundation for shamanic studies ) le corps enduit d’argile, P.W. trace des signes graphiques sur sa peau pour convoquer l’Esprit de la rivière.
[/vc_column_text][vc_separator][vc_single_image image= »735″ img_size= »600×425″ onclick= »link_image » css= ».vc_custom_1555231235367{padding-top: 30px !important;} »][vc_column_text]Lundi 3 septembre 2018, au Centre de Création Chorégraphique Luxembourgeois :
Projection et présentation du film « The Breakwater (dancing a line in the Sound) », Plymouth 2014 Durée: 20′ 51″.
Réalisation : Hantu (Weber+Delsaux)
Coproduction : Hantu/Visual Arts Research Group/Marine Institute/Plymouth University/Royal Navy.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][vc_single_image image= »828″ img_size= »600×400″ onclick= »link_image »][vc_column_text]
Danse en recherche
Cycle de conférences sur l’apport des techniques somatiques à la création chorégraphique : 7 artistes parlent de leur expérience de création en lien avec l’univers somatique, des parcours et des enjeux spécifiques et singuliers. Des témoignages qualitatifs, des questionnements et des échanges sur l’art d’être corps …
Lundi 16 Avril 2018 – Pascale Weber & Jean Delsaux (Hantu), « Ajustements sensibles : le corps comme création ».
Rhizomes est un projet piloté par Carlo Locatelli (artiste associé à la compagnie Avventure di vita), Stéphanie Decante (Université de Nanterre) & Françoise Quillet (Cirras).
[/vc_column_text][vc_column_text]Les performances Hantu traitent de l’articulation entre le corps présent et le corps représenté. Pascale Weber et Jean Delsaux envisagent la présence comme la conscience d’être vivant, conscience sans cesse actualisée de ce que sont un corps humain, son sexe, son genre, son âge, sa force, son organisation motrice, sa respiration et son interaction avec son environnement, sa relation à l’autre, sa place dans le groupe social. La représentation renvoie autant à la création artistique et au document d’archive (notamment photo et vidéo) qu’aux nombreuses images mentales dont il est question dans les pratiques de visualisation (respiration visualisée en Shiatsu, exercices de visualisation en I.F.* chez M. Feldenkrais, R.E.D.** chez R. Desoille, sophrologie…).
Entre présence et représentation, Hantu performe la manifestation et la continuation du désir vital, en s’appuyant tant sur une pratique régulière de la danse Butoh que celle des voyages dirigés, des techniques vocales issues du joik, du chant de gorge ou chant diphonique, des pratiques somatiques évoquées plus haut, ou d’un travail plus ancien en bio-énergie et Taï-Qi-Chuan car toutes ces techniques permettent des ajustements sensibles du corps et de la perception que nous en avons. Notre corps se réinvente pour survivre et s’adapter à tout ce qui autour de lui change également.
(* Intégrations fonctionnelles / ** Rêve Éveillé Dirigé)[/vc_column_text][/vc_column][vc_column][/vc_column][/vc_row]